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The Compost Bag Company au Belfius Smart Belgium Awards

Hier, les Smart Belgium Awards ont été présentés à Bruxelles. Avec cela Belfius récompense les initiatives qui apportent des solutions aux défis des autorités locales, des entreprises, des centres de soins, des écoles, … et créent ainsi un avenir durable et intelligent qui inspire de nouveaux projets intelligents.

De belles initiatives

Pas moins de 233 initiatives ont présenté leur candidature. Ceux-ci ont été réduits par le jury d’experts à 10 nominés dans 5 catégories. The Compost Bag Company a été nominée dans la catégorie Entreprises avec un chiffre d’affaires de plus de 10 millions d’euros.

Dans notre catégorie, les machines de nettoyage Glutton ont été déclarées gagnantes avec leur balai de rue 100% électrique. Un beau projet et un gagnant mérité. Pour le prix du public, vous avez voté en masse sur notre projet. Merci pour cela. Au classement final,  nous n’avons pas obtenu assez de votes pour obtenir le prix public. Finalement, Mariënstede, un système unique de caisse qui permet aux personnes handicapées de travailler de façon autonome. Aussi un beau projet. Félicitations à tous les gagnants.

Fier

Malgré le fait que nous n’avons pas gagné, nous sommes très fiers d’être nominés! Cela confirme que nos initiatives sont sur la bonne voie et que nos contributions efficaces à un avenir durable et intelligent sont appréciées.

Collègue à l’honneur: Karina Daniels

Aucune organisation ne réussit sans une équipe passionnée. Chez The Compost Bag Company, 35 passionnés travaillent avec ardeur chaque jour pour réduire le tas de déchets plastiques. Cette fois-ci, nous mettons en vedette Karina Daniels: “Plus les gens connaissent le problème du tas de déchets plastiques et plus qu’ils veulent en faire quelque chose, mieux c’est.”

Avec Karina Daniels, The Compost Bag Company a rejoint une représentante commerciale passionnée en 2009. “Mon travail consiste principalement à convaincre les décideurs chez nos clients (potentiels) de nos produits et services. Pour cela, je pars en Flandre et dans le sud des Pays-Bas. J’essaie de visiter chaque municipalité et chaque ville pour recommander nos produits compostables et renouvelables. Mais aussi des intercommunales, des maisons de retraite ou des usines de traitement du compost sont sur ma liste. Avec mon collègue francophone, nous essayons de convaincre le marché belge, néerlandais et français de rejoindre notre philosophie ”

À quoi ressemble une journée de travail moyenne?
“Je commence la journée à 8 heures avec les collègues du bureau. Habituellement, je commence à répondre à des courriels, après quoi je prépare plusieures visites de clients. Planifier des rendez-vous, rédiger des propositions et prospecter de nouveaux marchés font également partie de mon travail. En outre, les clients viennent à moi avec leurs questions. Je suis donc impliqué dans toutes les étapes du cycle commercial. ”

Quels défis aimeriez-vous encore réaliser?
“Nous concentrons progressivement nos flèches sur les détaillants. Avant de commencer ici, j’ai travaillé en tant que représentante commerciale dans le secteur de la sécurité où je négociais régulièrement avec les commerçants. Cette expérience est maintenant utile. Convaincre les grands détaillants me donnera beaucoup de satisfaction. Cela vaut également pour les exploitants d’hôtellerie et de restauration, où un certain nombre de projets d’essai pour trier leurs déchets organiques sont déjà en cours. Mais pour moi, le ciel est la limite. Plus les gens connaissent le problème du tas de déchets plastiques et plus qu’ils veulent en faire quelque chose, mieux c’est. ”

Vous êtes également volontaire de recyclage, qu’est-ce que cela signifie exactement?
En tant que bénévole, je m’engage à promouvoir les techniques de recyclage dans ma municipalité. Cela va du compostage  à domicile, du jardinage et du paillage écologique à la réduction des pertes alimentaires. En collaboration avec les services communales de l’environnement et avec l’intercommunale, des soirées d’information sont organisées, nous publions des articles et des fiches d’information ou nous donnons des conseils pour contribuer à l’environnement à partir de sa maison. Parce que chaque effort compte. Je réalise cette vision avec The Compost Bag Company également.”

Que faites-vous dans votre temps libre?
“Avec deux adolescents dans la maison, il y a beaucoup d’activités chez nous. Pour compensation, j’aime retrouver le silence. C’est là que je me relaxe complètement. Rien de plus béni que de marcher avec les chiens dans la nature, où rien ni personne d’autre ne peut être repéré. Mais un city-trip avec ma fille ou une activité de paintball avec mon fils de temps en temps, je ne le refuserai certainement pas. J’aime aussi assister à une pièce de théâtre ou un concert, ou visiter un musée le week-end. Paresseuse dans le fauteuil ? Non, ce n’est rien pour moi.”

Du chardon au Compost Bag

Les chardons constituent la base des Compost Bag. Ce matériau organique donne à nos sacs leur qualité la plus importante: ils sont 100% compostables. Mais les chardons ont encore beaucoup d’autres avantages écologiques et économiques.

Au printemps, les chardonss obtiennent de grandes fleurs violettes, qui sont fécondées par des abeilles. Une fois qu’une fleur est partie, il reste un bulbe rempli de graines riches en huile végétale. Cette huile ne convient pas à la consommation alimentaire, mais c’est la matière première idéale pour les bioplastiques.

Facile à cultiver

Les chardons sont en fait des plantes très faciles: elles fleurissent en douceur chaque été pendant sept ans sur les sols les plus secs. Parce que les racines pénètrent très profondément dans le sol, elles trouvent toujours de l’eau et l’irrigation n’est pas nécessaire. Les sols secs et rocheux en Sardaigne – où les chardons sont cultivés – sont un désastre pour la culture vivrière, mais sont en même temps le sol idéal pour ces plantes. Le sol n’a pas non plus besoin d’être fertilisé: les chardons s’autofertilisent avec les restes de feilles qui meurent en hiver et nourrissent ensuite suffisamment le sol pour permettre à la plante de prospérer l’année suivante.

Rien n’est perdu

Pour fabriquer un chardon, on utilise une moissonneuse spéciale qui coupe la plante à deux hauteurs différentes. On récolte d’abord les bulbes de graines. La machine tond ensuite les tiges sèches jusqu’à environ 30 cm au-dessus du sol. Ces tiges génèreront de l’énergie qui alimentera la bioraffinerie. Dans un pressoir l’huile est pressé des graines pour en fabriquer des bioplastiques.

Ce qui reste de la plante – le morceau de tige de 30 cm et des feuilles – meurt et nourrit le sol pour un nouveau cycle. Les résidus qui sont libérés lors de la conversion de l’huile en bioplastique sont également réutilisés, par exemple dans les cosmétiques ou les désherbants organiques. De cette manière, chaque chardon est entièrement utilisé.

Économie locale florissante

Les chardons ne sont pas seulement une bonne chose d’un point de vue écologique, ils donnent également une impulsion à l’économie d’une des régions les plus pauvres de la Sardaigne du Nord. Dans la région, dans les années septante, une industrie pétrolière a été construite, mais finalement ce plan n’était pas économiquement viable. La conséquence? Sites abandonnés, sites industriels en déclin et chômage.
Aujourd’hui, la récolte et le traitement des extraits de chardon donne du boulot à 250 Italiens et les bioraffineries tournent à plein régime. Les champs abandonnés depuis des années sont maintenant pleins de chardons. De plus, les fleurs attirent beaucoup d’abeilles au printemps. Le miel qu’ils produisent offre un revenu supplémentaire à de nombreux agriculteurs locaux. Les restes de graines pressées retournent aussi aux fermiers comme concentrés pour leurs chèvres. et cela rend les animaux plus forts qui offrent du lait, du fromage et de la viande de qualité.

Chasser les mauvaises odeurs de la cuisine? 5 fois plutôt qu’une

L’odeur délicieuse de quiche four-frais, des fumées de bouillon de légumes ou des arômes nostalgiques de carbonades mijotant façon recette de grand-mère… Malheureusement, une cuisine n’est pas toujours une myriade de grandes odeurs. Aussi propre que puisse être votre cuisine, une odeur désagréable peut y apparaître rapidement. Est-ce que ça vient des déchets alimentaires, d’une conduite d’évier ou du réfrigérateur ? Il n’est jamais facile de faire disparaître ces mauvaises odeurs. À moins que vous ne suivez ces conseils pour commencer.

1.   Chassez les odeurs avec des désodorisants confectionnés à la maison

Celui qui se met à cuisiner peut difficilement éviter les odeurs. Même une bonne hotte aspirante ne dégage pas toute les odeurs de frites fraîchement cuites dans votre cuisine. Dans ce cas, un assainisseur d’air rapide fait des merveilles. Il en existe de nombreux modèles directement prêts à l’emploi, mais ceux-ci ne sont pas toujours très écologiques. Faites votre propre désodorisant plutôt en portant une casserole d’eau avec citron, herbes et vanille à ébullition. Ou pressez des clous de girofle dans une orange et profitez des arômes ainsi libérés.

2.   Mettez un VentiMax® dans votre cuisine

Une bonne partie de vos déchets de cuisine est fermentescible comme les pelures de fruits et les déchets de légumes, le marc de café, les restes de pain… Source de odeurs désagréables, il importe de résister à la tentation de les jeter avec les déchets résiduels. Placez-les plutôt dans un VentiMax®. Les sachets CompostBag® « respirant » à l’intérieur feront le reste en  évitant le dégagement de mauvaises odeurs contrairement aux sacs en plastique traditionnels. Le VentiMax® stoppe ainsi le processus de putréfaction, qui attire également les insectes. Enfin, vous économisez en triant vos déchets fermentescibles.

3.   Placez des désodorisants dans votre réfrigérateur

Un demi-poulet, un bol de soupe, le lait qui a dépassé la date de péremption… Votre réfrigérateur devient souvent un méli-mélo de parfums. Et même si vous le nettoyez chaque semaine, ces relents restent. Avec une assiette de tranches de citron dans votre réfrigérateur, ce problème est résolu. L’agrume est le désodorisant idéal et distille en outre un délicieux parfum frais dans votre réfrigérateur. Des sachets de thé secs sont également d’excellents capteurs d’odeurs. Ne les laissez cependant pas pendant des semaines : une fois qu’ils se mettent à se décomposer, l’effet positif disparaît.

4.   Dissipez les odeurs de four brulé avec du sel

Des coulées de sauce dans le four est un classique !. Cette pizza faite à la maison brûle avec toutes les garnitures au fond du four ! Supprimer les déchets alimentaires brûlés n’est pas toujours chose aisée. Il en va de même pour les odeurs.. Laissez le four refroidir et puis saupoudrez du sel sur le fond. Non seulement l’odeur disparaît mais vous sortirez les déchets alimentaires plus facilement par la suite. Si une odeur de brûlé persiste ? Mettez un plat frais de levure chimique, de charbon de bois ou de jus de citron dans votre four ou micro-ondes.

5.   Soignez votre égout avec le marc de café

Une odeur nauséabonde peut se propager de votre évier. Pas illogique si vous savez ce que passe à travers. Avec le marc de café, vous mettre un terme à cette odeur âcre rapidement. Il absorbe non seulement l’odeur sale mais enlève également toutes les résidus qui provoquent cet air rance. N’oubliez pas de bien rincer à l’eau chaude par après. L’abrasif idéal donc pour tenir vos égouts propres. Et aussi plus sain que les produits chimiques.

Souffrez-vous d’insectes dans votre cuisine ? Lisez les 7 conseils pour vous en défaire.

Economie circulaire au niveau de l’entreprise

Lors de la production de nos sacs, nous générons inévitablement des déchets. Il est alors important de récupérer ces déchets. Les perdre non seulement coûterait de l’argent, mais aussi l’environnement en souffrerait. Chez The Compost Bag Company, nous limitons cette perte à 0,16 %. Autrement dit : 99,84 % des matières premières utilisées se retrouvent finalement dans nos sacs. Comment nous le faisons , vous le lirez sur ce blog.

Il y a déchets et déchets

Des procédés de production produisent deux types de déchets. Le déchet structurel est inévitable. Il résulte entre autres d’une découpe d’un morceau du sac pour créer un certain type de sac, (par exemple, les sacs pour fruits et légumes avec des poignées). Le déchet de production est le résultat de changements machines d’un part et des défauts d’autre part. Les produits finis qui ne satisfont pas aux exigences de qualité ne peuvent pas être vendus et doivent être supprimée.

The Compost Bag Company réussit déjà assez bien à limiter les déchets production. Mais parce que nous recyclons ces déchets dans notre usine et parce que nous réutilisons le recyclat immédiatement à nouveau dans notre production, nous pouvons réduire davantage la perte finale de matériau à 0,16 %. C’est exceptionnellement bas dans notre industrie.

  1. Un déchet propre est un meilleur déchet

En traitant nos déchets avec soin, nous obtenons une meilleure qualité de recyclat par après et nous pouvons en utiliser plus dans la production, sans perte de qualité du produit final. Quand nous découpons des poignées, nous rattrapons immédiatement ces déchets structurels dans un bac pour éviter toute contamination. De même avec les déchets de production.

  1. L’importance d’un bon planning

Nous produisons une large gamme de sacs avec différentes épaisseurs, largeurs, longueurs et autres spécifications. Pour chaque commande, ces paramètres doivent à nouveau être ajustés. Ce réglage s’opère sans arrêter les machines, donc il y a un certain nombre de sacs qui ne sont ni conformes aux exigences de la production précédente, ni aux spécifications de production suivante. C’est donc du déchet. Un bon planning est donc très important: nous organisons la production pour avoir le moins de changements possible et ainsi moins de déchets. Conserver les machines en bon état aide également à éviter les défauts lorsde la production et contribue aussi à limiter les déchets.

  1. Ne pas perdre de temps, ça s’apprend

Le changement d’une commande à l’autre s’opère sans arréter les machines. Il est donc important de travailler rapidement et correctement afin de ne pas perdre du temps et ne pas faire trop de déchets. Comme nos sacs sont confectionné au rythme  de 4 à 6 pièces par seconde, chaque seconde perdue entraîne une perte considérable. Nous investissons donc fortement dans la formation approfondie de notre personnel de production afin qu’il puisse faire des ajustements rapides et en toute sécurité.

  1. Moins de couleurs, c’est plus économe

Nous encourageons nos clients à seulement nous commander des sacs verts avec impression verte. Dans le recyclage des déchets, les pigments de l’encre sont absorbés par la matière. Ainsi, l’encre verte colore le recyclat vert. Par la réuitilisation de ce recyclat dans une suivante production, nous colorons les sacs en vert. Et ainsi se ferme le boucle. Ceux qui choisissent une autre couleur de sac ou d’impression, mettent en danger cette boucle fermée et devront payer pour l’inévitable destruction du déchet.

Savoir plus sur nos efforts pour la diminutions des déchets? Erik Vanderlinden, CEO du The Compost Bag Company, vous en informera avec plaisir.

Qu’en est-il de la pollution par des sacs plastiques pour fruits et légumes ?

De plus en plus des sachets biodégradables pour fruits et légumes trouvent leur chemin vers les supermarchés et les ménages. Ils sont une vraie alternative écologique aux sacs plastiques, traditionnel très polluants. Mais quel est exactement le problème avec ces sachets traditionnels ?

Que l’on ne puisse laisser traîner les sacs en plastique dans la nature est une recommandation déjà bien connue. Le polyéthylène a besoin de nombreuses années pour dégrader, et même alors, il laisse des résidus indésirables, voire toxiques dans le sol. Cependant, ce n’est pas là le plus gros problème : peu de gens jettent les sachets vidés par la fenêtre après avoir fait leurs courses. Mais, cela ne signifie pas que les sachets ne soient pas gênants.

Le plastique n’est pas un déchet fermentescible.

Une partie importante des sachets pour fruits et légumes se retrouvent dans les déchets organiques et causent pas mal de problèmes au compostage. Une étude de Organic Waste Systems, une société belge réputée dans le monde en termes de techniques de compostage, le démontre. L’organisation a pris des échantillons de la de pollution retrouvée sur le sol du hall de compostage d’une installation intercommunale dans le Brabant-Flamand oriental. Cette pollution s’accumule progressivement et ralentit le processus de compostage, l’empêche même finalement. Alors, le fonctionnement de l’installation doit être arrêté et le hall nettoyé : un véritable tour de force.

Cette étude a révélé que 15 % du poids des déchets non-fermentescibles intégrés par erreur dans la collecte des déchets organiques proviennent des sachets pour fruits et légumes. Sachant que les sachets sont extrêmement fins et légers, ce pourcentage est énorme. Il s’agit alors de plusieurs dizaines de milliers de sachets. A part les interruptions périodiques du compostage qui coutent des poignées d’argent, les coûts environnementaux de l’incinération de cette pollution n’est pas à sous-estimer. Evidemment, ces coûts ne sont pas inclus dans le prix des sacs en plastique, ce qui les rend très bon marché. Raison pour laquelle les supermarchés continuent à les distribuer généreusement.

La « soupe de plastique » dans le sol.

Cependant, le pire est encore à venir ! Les sachets pour fruits et les légumes qui se retrouvent dans la collecte sélective des déchets fermentescibles passent avec les déchets organiques au travers d’un système de déchiquetage avant d’être introduits dans le processus de compostage. Une fois hachés en lambeaux, ces petits morceaux de plastique passent à travers tous les filtres pour finalement arriver dans le compost.

Ce même compost, que jardiniers et agriculteurs utilisent pour enrichissent leur potagers et champs. Les particules de plastique non biodégradables s’accumulent dès lors dans le sol et risquent d’en endommager la structure. Ce phénomène est certes bien moins connu que la « soupe de plastique » dans nos océans, mais les conséquences sont tout autant désastreuses. L’accumulation de cette pollution rend plus difficile pour l’eau et l’air de pénétrer dans le sol, le stérilisant progressivement. A long terme, la culture vivrière est susceptible d’en souffrir irrémédiablement.

Les sachets biodégradables Compost Bag® pour fruits et légumes peuvent être jetés avec les déchets fermentescibles : ils composteront avec ces biodéchets. Les études dans les centres de compostage industriels le démontrent : ils sont biodégradés dans les 14 jours. En plus, les sachets Compost Bag® conservent les fruits et légumes frais plus longtemps dans le frigo. Pour retrouver plus de conseils pour garder notre planète propre, consultez notre blog.

Combien puis-je épargner en triant mes déchets fermentescibles ?

En Wallonie, chaque année on produit 550 kilos de déchets ménagers par habitant. A peu près 40% de ce poids sont des déchets fermentescibles. Le tri de cette fraction de déchets non seulement soulage l’environnement, mais aussi le porte-monnaie.

La fraction résiduelle est chère

Les sacs jaunes, blancs, noirs ou toute autre couleur pour la fraction résiduelle de nos déchets ménagers ont une caractéristique commune : ils sont fort chers. Leur prix, déterminé par la commune, peut s’élever jusqu’à € 2.50 par sac. Avec un sac par semaine, c’est facilement € 100 par an que l’on jette à la poubelle.

Enlever les 40% de déchets fermentescibles, réduit le coût à €60 par an. Bien qu’il soit plus facile de jeter le tout ensemble, il est financièrement préférable de trier.

Le tri rapporte

Presque tous vos déchets fermentescibles de cuisine peuvent être rassemblé dans le VentiMax®. Vous y glissez un sachet biodégradable CompostBag®, et une fois ce sachet rempli, vous le jetez dans votre conteneur à déchets, votre sac de collecte ou dans votre bac ou fût de compostage à domicile. En moyenne, une famille en Europe de l’Ouest (2 adultes, 2 enfants) consomme 2 sachets CompostBag® par semaine. Ainsi, elle peut trier ces déchets de cuisine pendant une année pour env. € 10.

À cela s’ajoute le coût de collecte qui varie selon la commune et le système (contribution fixe ou au poids). En moyenne, un bac de 40 litre coûte € 0,50 par enlèvement et peut facilement contenir des dizaines de sachets CompostBag® (ce qui réduit à nouveau le coût). Si vous compostez à domicile, ce coût  de collecte disparaît totalement. Même plus, vous obtenez gratuitement un amendement du sol naturel.

Calculons ensemble

Jeter vos pelures de pommes de terre et vos trognons de pommes avec la fraction résiduelle vous coûte facilement € 100 par an. Enlever les déchets fermentescibles vous fait épargner € 40. Même si vous dépensez € 10 par an au système VentiMax® pour vous faciliter la vie, vous épargnez € 30.

Retrouvez de nombreux conseils pour réduire vos déchets sur notre blog.

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